Vous trouverez dans cette rubrique et par ordre alphabétique les intérieurs de nos églises vosgiennes (enfin celles que je possède) . Avec quelques explications glanées ici et là sur internet.
EN GROS CARACTÈRES CELLES AJOUTÉES CE JOUR
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AMBACOURT
ANOULD
AOUZE
ARCHES
ARCHETTES
AUTIGNY-LA-TOUR
AUTREVILLE
AVRANVILLE
BAINS-LES-BAINS
BAN DE LAVELINE
BRUYÈRES
BULGNEVILLE
BUSSANG
CHAMAGNE
CHARMES-SUR-MOSELLE
CHATENOIS
CHÂTILLON-SUR-SAÔNE
CHERMISEY
CLAUDON-DROITEVAL
CONTREXEVILLE
CORCIEUX
CRAINVILLIERS
DAMBLAIN
DARNEY
DEYCIMONT
DOGNEVILLE
DOMBROT-LE-SEC
DOMMARTIN-LES-REMIREMONT
DOMMARTIN-LES-VILLE
DOMPAIRE - LAVIEVILLE
DOMREMY-LA-PUCELLE
DOMVALLIER
ÉPINAL
ESCLES
ETIVAL
FRAIZE
FREBECOURT-BOURLEMONT
FREVILLE
GENDREVILLE
GERARDMER
GIRANCOURT
GODONCOURT
GRAND
GRANGES SUR VOLOGNE
GRANDVILLERS
HADIGNY LES VERRIÈRES
HADOL
HARREVILLE-SOUS-MONFORT
HARMONVILLE
HOUSSERAS
JAINVILLOTTE
KICHOMPRE
LAMARCHE
LA CHAPELLE-AUX-BOIS
LA NEUVEVILLE-LES-RAON
LIFFOL LE GRAND
LIGNEVILLE
LUSSE
LUVIGNY
MACONCOURT
MANDRES-SUR-VAIR
MARAINVILLE-SUR-MADON
MARTINVELLE
MATTAINCOURT
MEDONVILLE
MENIL-SUR-BELVITTE
MIRECOURT
MONCEL SUR VAIR -HAPPONCOURT
MONT-LES-NEUFCHÂTEAU
MONTHUREUX-SUR-SAÔNE
MORIVILLE
NEUFCHATEAU - 125-
NOMEXY
NORROY SUR VAIR
POUSSAY
REGNEVELLE
ROBECOURT
ROUVRES EN XAINTOIS
SARTES
SERECOURT
SEROCOURT
VITTEL
VOMECOURT SUR MADON
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EGLISE SAINT PIERRE
L'église dont le maître-autel est classé au titre des objets mobiliers
D'azur à la tête d'ours arrachée d'or, accompagnée en chef d'une croix pattée d'argent à dextre et d'une rose du même pointée de gueules à senestre.
extrait wikipedia
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EGLISE SAINT ANTOINE
Église Saint-Antoine, bâtie à partir de 1828, reconstruite après 1944.
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EGLISE SAINT VINCENT
L'église date du xie siècle
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EGLISE SAINT MAURICE
Église néo-classique construite au xixe siècle,
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EGLISE SAINT LÉGER
Église paroissiale Saint-Léger, reconstruite au milieu du xixe siècle. On peut y admirer plusieurs œuvres classées dont une Vierge à l’Enfant du xvie siècle (v. 1520-1525), originaire de l'ancien couvent des Minimes d'Épinal ; un maître-autel baroque en bois doré avec six chandeliers et un retable dit "de l'Ecce Homo", en bois polychrome et doré, tous deux datant du xviiie siècle et provenant peut-être de l'ermitage du lieu ; des statues de saint Antoine et saint Sébastien en bois polychrome et doré datant également du xviiie siècle et en provenance de l'ermitage
EGLISE SAINT PIENT
Relevant pour moitié de l'abbaye de l’Étanche et de la Maison-Dieu de Toul, l'église Saint-Pient a été reconstruite en 1870-1871 ; la tour remonte au XVIIIe siècle. Du sanctuaire précédent, une statue de Saint-Martin du XVIe siècle vous attend au-dessus de la porte d'entrée.
En 1978, la toiture a été refaite et, en 2008, les murs extérieurs ont été ravalés.
EXTRAIT "PATRIMOINE DE LORRAINE" DE OLIVIER PETIT
Pient gouverna l'église de Poitiers au milieu du VIe siècle : il n'a pas trouvé d'historien, mais son existence et le culte qui lui fut rendu sont certains. Il fut à Poitiers le contemporain de Saint Radegonde, qu'il aida à construire son monastère ; il serait mort à Maillé, au cours d'une visite pastorale, le 13 mars 564.
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EGLISE ST BRICE
EXTRAIT DE "PATRIMOINE DE LORRAINE"DE Olivier PETIT
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EGLISE ST MICHEL ET ST GABRIEL.
Je n'ai pas plus de détail concernant cette église
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EGLISE ST COLOMBAN "DE LUXEUIL"
le lieu d'origine était une chapelle baptismale. À la suite du tremblement de terre de 1682, l'église paroissiale est reconstruite au xviiie siècle, mais plusieurs éléments ont été ajoutés au xixe siècle (le chœur, l'orgue, les colonnes, la voûte rehaussée). Son clocher à flèche de charpente attire le regard au centre de la ville avec son coq perché à 44 mètres de hauteur.
Les vitraux d'origine de la nef sont détruits pendant la Seconde Guerre mondiale et remplacés entre 1947 et 1950 sur le thème du baptême, en hommage à sa construction d'origine.
Plusieurs éléments sont classés au titre des monuments historiques :
EXTRAIT DE WIKIPEDIA
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L'EGLISE DE L'ASSOMPTION DE NOTRE-DAME
L'église de Laveline a été construite en 1716 sur l'emplacement des anciennes fondations d'un oratoire du xie ou xiie siècle. La première église tombée en ruine est démolie. Une seconde église reconstruite sur l'emplacement de la première est édifiée en 1504. Elle est restaurée en 1694 par le curé Husson. En 1710 le clocher qui menaçait de s'écrouler est réparé sous le mandat du curé Florent. Dans la nuit du 29 au 30 août 1725 la foudre s'abat sur le clocher le détruisant en grande partie. Une horloge est ajoutée en 1730 au clocher de l'église. L'ancienne tour remonte à l'époque romane, la nouvelle tour a été construite en 1870. En 1900 une souscription est lancée auprès de la population pour restaurer l'église de Ban-de-Laveline. On profite pour poser huit vitraux, construire deux autels latéraux, restaurer l'orgue9,10 et installer de nouveaux bancs. Parallèlement, la commune fait installer un chemin de croix. En 1952, le remplacement des cloches s'avèrent nécessaire. On en profite pour électrifier les cloches.
extrait Wikipedia
EGLISE NOTRE-DAME-DE-L'ASSOMPTION
Ce n'est qu'en 1612 que la paroisse de Bruyères fut détachée de celle de Champ et que l'église fut construite.
Elle fut agrandie à partir de 1842 sous l'administration de Jean-Baptiste Loye.
Pour bonne partie en grès, l'église est de plan cruciforme. Elle a un chevet plat et les bras du transept sont terminés par des absidioles semi-circulaires.
La nef est divisée en trois vaisseaux par des piles en grès.
L'entrée est précédée d'un porche tétrastyle à fronton triangulaire imité des temples antiques.
L'orgue a été installé sur une tribune de 1895, au-dessus de l'entrée.
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EGLISE ST PIERRE ET ST PAUL
L'église a été au trois quarts reprise entre 1785 et 1789 (construction d'un chœur à cinq pans, rallongement de la nef vers l'ouest, construction d'une tour porche).
En 1791, une partie du plafond de la nef a été rehaussée pour accueillir l'orgue provenant de l'ancien couvent des frères récollets de Bulgnéville .
La chapelle dite improprement castrale (la chapelle du seigneur est devenue la sacristie en 1789) s'appelait au XVIIIe siècle la chapelle Saint-Sébastien dite du Sépulcre (cf. pouillé des chapelles du diocèse de Toul, 1705) contient plusieurs statues ou ensembles monumentaux impressionnants : le Sépulcre ou Mise au Tombeau datant de la fin du XVe / début XVIe siècle, la Légende des Trois Marie (XVIe siècle) ou des Trois Maris (c'est selon) et le Christ-aux-Liens (XVIIIe siècle) qui se trouvait à l'entrée de la chapelle de l'ancien hôpital, les quatre évangélistes sont représentés sous la forme de leurs symboles aux retombées des voûtes de la chapelle.
EXTRAIT WIKIPEDIA
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EGLISE SAINTE BARBE
L'église a été construite en 1733. Le clocher de l'église est le troisième, la date du dernier est sous le porche : 1894. Les deux clochers antérieurs furent détruits, le 1er par un incendie, le 2ème par la foudre. L'actuel qui parait rétréci a été voulu ainsi, le Conseil Municipal d'alors ne voulant pas se risquer à monter une troisième flèche.
L'église est dédiée à Sainte Barbe, patronne entre autres des mineurs. Le maitre-autel situé dans le chœur est celui que l'abbé Morizot a fait composer avec le cuivre des mines de Bussang. C'est une pantographie voltaïque représentant la mise au tombeau.
Dans le chœur de magnifiques stalles et une chaire abbatiale, rappellent que les boiseries proviennent de l'abbaye de Moyenmoutier. Démontées à la Révolution française, entreposées dans les greniers de la Préfecture d’Épinal; elles furent achetées par la Commune de Bussang pour son église.
L'église de Bussang abrite actuellement un orgue qui fait l'objet d'une demande de protection au titre des monuments historiques. Cet instrument a été construit par le facteur d'orgues Jean-Nicolas JEANPIERRE en 1838. Il présente un intérêt important pour le patrimoine organologique des Vosges car il est un témoin intéressant de la facture d'orgues Vosgiennes du début du 19ème siècle. Il est composé de nombreuses pièces dont notamment 1 clavier de 56 notes.
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EGLISE ST DENIS
Église Saint-Denis vers 1730, avec son clocher à bulbe et son orgue de Jean-Nicolas Jeanpierre de 1859, transformé en 1893
(Wikipédia)
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EGLISE SAINT NICOLAS
fin XVe siècle (1493),
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Construite au XVème siècle (sur l'emplacement d'une église existante probablement) dans un style gothique élégant, l'église de Charmes possède de nombreux trésors accumulés au cours des siècles de son existence. C'est notamment le cas de la chapelle Saint-Hubert construite au XVIème siècle dans un style renaissance affirmé. On peut également y admirer un vitrail de la même époque illustrant "trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme".
Au XVIIIème siècle de magnifiques autels de style classique seront installés tout comme la très belle chaire à prêcher.
La seconde guerre mondiale sera terrible avec une ville de Charmes bombardée. Miraculeusement, l'église n'y perdra que son clocher reconstruit dans les années 40 en béton avec un style oscillant entre la fin de l'art déco et le début du modernisme. Un mélange étonnant dans la juxtaposition mais qui, finalement, est plutôt satisfaisant voire même enthousiasmant. Cependant la présence de ce clocher peut tromper le visiteur qui, de loin, croît que l'église ancienne n'est plus alors que seul le clocher manifeste des temps plus modernes.
Une église étonnante et riche d'un patrimoine varié dont la chapelle renaissance est un incontournable alors que l'ensemble des éléments équilibre l'harmonie
EGLISE DE LA NATIVITÉ DE NOTRE-DAME
La première mention officielle du village date de 1234, dans le Comté de Bar.
En 1348, les Comtes de Bar installent un siège de Prévôté et c'est à cette période que remontent les premiers travaux de fortification englobant la ville et la joignant au château.
Les 14ème et 15ème siècles sont marqués par les troubles : Guerre de Cent Ans et guerre entre les Duchés de Lorraine et de Bourgogne. En 1484 le village est détruit et devient lorrain.
De 1500 à 1600, le village se reconstruit, des nobles s'établissent et font construire des hôtels particuliers. Châtillon devient un carrefour stratégique à l'entrée de la Bourgogne, de la Champagne et de la Franche Comté à la fin du Moyen-age et durant toute la Renaissance.
En 1618, la Guerre de 30 ans embrase l'Europe, le village est occupé, rasé et déserté en juin 1635.
C'est à partir de 1660 que des paysans réinvestissement les lieux, et l'ancienne place forte se transforme en agglomération rurale avec des agriculteurs et des viticulteurs.
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EGLISE ST BARTHELEMY
Sous l’Ancien Régime, la communauté de Chermisey faisait partie du bailliage de Chaumont (prévôté d’Andelot) et de la généralité de Châlons. L’essentiel des archives concernant la vie de la localité est donc conservé en Haute-Marne et dans la Marne2.
Au spirituel, l’église, consacrée à saint Barthélémy, était une annexe de celle d’Avranville (doyenné de Rinel, diocèse de Toul). Le marquis des Salles fut seigneur de Chermisey au xviiie siècle mais n’y habitait pas.
La commune de Chermisey fait partie du canton de Grand de 1790 à sa suppression en l’an X.
extrait WIKIPEDIA
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EGLISE ST GUERIN
À l'origine un éperon rocheux dominant l'Ourche permettant une protection naturelle idéale, a permis l'installation d'un village celte appelé "fossés de Châtillon". Par de nombreuses déformations successives les "fossés de Châtillon" ont donné : "Claudon" du celte "claodo" qui signifie fossé, vallée creuse (mais un hypothétique claodo ne peut pas "se déformer" en les fossés de Châtillon pour revenir ensuite par d'autres déformations à Claudon, forme miraculeusement plus proche de l'étymon). Dauzat et Rostaing inclinent vers un diminutif d'un nom de personne Claude ; ils citent un très révélateur Chez Claudon (1575)2.
Claudon faisait partie du duché de Lorraine et de la seigneurie de Darney. Après l'installation de monastères et de prieurés, le duc de Lorraine décida d'installer en forêt de Darney des Gentilshommes Verriers par la charte des verriers de 1448.
Claudon était alors situé dans la "Communauté des granges et verreries". Cette communauté avait la particularité de ne pas avoir de chef-lieu qui se situait au domicile du responsable de la communauté. Les actes de baptêmes, mariages et sépultures étaient alors pris en charge par la paroisse d'Attigny. Prenant en compte l'augmentation de la population, la paroisse de Claudon fut créée le 15 novembre 1763.
Une installation progressive de forges fera progressivement de Claudon un petit centre industriel réputé pour la qualité de ses aciers. Au moment de la Révolution française, Claudon comprenait onze verreries, sept forges royales, trois moulins, une scierie, une tuilerie... Puis après le déclin de ces industries, Claudon deviendra un bourg agricole et forestier.
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EGLISE ST EPVRE
Érigée au XVIIe siècle, dont la tour du clocher est le seul vestige de l’église romane d’origine, l’église Saint-Epvre, classée Monument Historique en 1998, mérite le détour pour son statuaire, une piéta, le Retable des XII Apôtres (XVe siècle) et une toile dite « Maurice Denis », tenant son nom du parrainage du maître impressionniste à trois de ses disciples à l’origine du tableau.
D'après les érudits qui se sont penchés sur son cas, l'église de Contrexéville fut édifiée entre l'an 1150 et l'an 1200, c'est dire qu'elle vu plus de trente générations de Contrexévillois se succéder sous son auspice ; elle a été pendant huit siècles le témoin de nombreux événements qui se déroulèrent dans le village, elle a rythmé la vie angélus, des baptêmes, des mariages et des glas…
Aujourd'hui la tour du clocher est le seul vestige de l'église romane d'origine, dont il ne reste plus aucun autre élément debout.
D'azur à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'une aigle becquée et couronnée d'or, et en pointe d'un lion passant d'or sur sol de sinople, brandissant dans sa dextre un glaive devant le soleil d'or.
L'aigle polonais est un hommage rendu à l'ex-roi Stanislas Leszczynski, duc de Lorraine, qui envoya le docteur Bagard, son premier médecin, étudier les propriétés des eaux de Contrexéville. Le lion brandissant un sabre et le soleil évoquent le drapeau de la Perse dont l'un des souverains suivit trois cures dans la ville, au début du xxe siècle. La bande ondulée transversale (l'onde d'argent, l'eau) symbolise la vocation thermale de la Cité.
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C'est par une délibération du que le conseil municipal a décidé de doter la ville de ce blason accompagné de la devise « Fons non fama minor », qui peut se traduire par « La source n'est pas inférieure à sa renommée ».
EGLISE NOTRE-DAME DE L'ASSOMPTION
Incendiée par l'occupant dans la nuit du 14 au 15 novembre 1944, a été reconstruite en 1955. Seules la tour-porche et la tour d'escalier ont pu être conservées. Un orgue a été construit en 1958 par Jacquot-Lavergne. La cloche, de 1731, est classée au titre des objets mobiliers
(extrait WIKIPEDIA)
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EGLISE SAINTE BEGNINE
Construit au XVème siècle dans un style gothique encore très présent au travers des baies de la nef comme du choeur, l'édifice sera remanié au XVIème puis au XVIIIème siècle avec l'arrivée du style classique. C'est notamment le cas du clocher qui semble dater de cette époque dans son aspect actuel.
Anthony KOENIG et Noomane FAKHAR
EGLISE SAINTE MADELEINE
néo-classique, réalisée entre 1768 et 1789. C'est une des très rares églises de France qui arbore fièrement sur son fronton la devise de la République :
Liberté, Égalité, Fraternité.
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EGLISE SAINTE MENNE
L'église primitive fut vraisemblablement construite au xie siècle sur ordre de l'évêque de Toul lors de l'érection du village en paroisse, et dédiée à sainte Menne. Le site exact n'en est pas connu, mais on peut supposer qu'on la trouvait déjà à cet endroit.
Le bâtiment fut reconstruit au début du xviiie siècle et fut terminé après 1712. Les constructeurs furent Pierre Pederay, maître maçon d'origine italienne, et François Francin, maître maçon tailleur de pierres. Le chœur fut ensuite agrandi en 1835 comme en témoigne une pierre le mentionnant. Suite aux deux bombardements de la Seconde Guerre mondiale et à la grêle de 1958, les vitraux furent refaits. Une dernière rénovation eut lieu à la fin des années 1980, qui lui a donné son aspect actuel.
L'église possède une nef à un seul vaisseau couverte de tuile en terre cuite, on l'appelle aussi église-salle ou église-grange. Le chœur est plus imposant et plus haut que la nef, ce qui témoigne de sa réfection plus tardive.
Le clocher est à 3 niveaux, et ouvert sur ses quatre côtés de 2 baies géminées. Il est couvert d'une flèche octogonale à égout retroussé en ardoise. On y accède par une tour d'escalier situé au sud de celui-ci.
Un reliquaire placé dans le chœur présente encore quelques bribes des reliques de sainte Menne
Née au pays de Soulosse, Sainte Menne, encore enfant, est confiée à Saint Memmie, évêque de Châlons-sur-Marne... C'est à Chalons que se précisa la vocation érémitique de la jeune fille, qui reçut des mains de l'évêque le voile de religieuse... Elle passa toute sa vie dans la solitude la plus absolue, en Champagne, puis en Lorraine. Lors d'une des persécutions, par quoi le paganisme tentait de s'opposer désespérément à la poussée de l'Évangile et dont Saint Elophe, Saint Euchaire et Sainte Libaire furent précisément les martyrs, Sainte Menne vint chercher asile dans le Saintois, en un lieu appelé Fontenet, à mi-chemin de Poussay et de Puzieux. C'est là qu'elle mourut, le 3 octobre... à la fin du IVe siècle...
...deux fois l'an la fête de Sainte Menne: le 3 octobre, jour de sa mort, le 15 mai, fête de la Translation de ses reliques. (d'après l'histoire des saints des Vosges, ouvrage du chanoine Laurent)
- une autre église est sous son vocable: église St Rémy et Ste Menne, 88500 Puzieux, diocèse de Saint-Dié.
(extrait de wikipedia)
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EGLISE SAINT ETIENNE
Les travaux débutent en 1870, avec une pause pendant la guerre de 70, et se terminent en 1873. L’église de Dogneville était connue en Lorraine comme le plus haut clocher des Vosges avec 73 mètres. Durant la dernière guerre, des obus allemands ont démoli une partie du clocher. Les Allemands, occupant le fort et le village, le dynamitent en juin 1940.
Ebranlé par cette explosion, un grand pan de mur du clocher s’écroule sur la toiture de la nef, écrasant voûte et mobilier. Le poids et l’effet de souffle ont ainsi détruit les 2/3 de la toiture, le reste des vitraux et ont fragilisé les murs extérieurs. Une restauration a eu lieu, en plusieurs phases : en 1948 les voûtes, en 1951 la reconstruction du clocher (moins haut que l’initial : 53 mètres). La partie de charpente détruite a été reconstruite avec des structures métalliques. Les vitraux ont été remplacés par des vitraux en dalles de verre, œuvres de Gabriel LOIRE, qui signe aussi le chemin de croix en chêne gravé.
L’église compte 19 baies : six dans les côtés nord et sud, deux en ouest, deux en est (entourant le chœur) et trois dans le chœur. La nouvelle église a été inaugurée en mars 1954. En janvier 2009, après trois semaines de gel, l’une des baies ouest s’ouvre dangereusement. En effet, le meneau central est cassé et tombé à l’intérieur. Deux pavés de verre de 60 kilos chacun font ventre vers l’extérieur. Suite à ces désagréments, un projet de rénovation est envisagé pour les quatre ou cinq années à venir.
EXTRAIT / FONDATION DU PATRIMOINE
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EGLISE ST BRICE
L'église Saint-Brice est classée monument historique depuis 1907. Son gros œuvre date du XIIIe siècle.
(EXTRAIT DE WIKIPEDIA)
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EGLISE SAINT NICOLAS
son orgue provient de Rambervillers, construit par Jean-Baptiste Jeanpierre en 1821.
(extrait Wikipédia)
EGLISE ST MARTIN
L'Église Saint-Martin est un édifice religieux de confession catholique édifié sur la commune de Ville-sur-Illon dans le département des Vosges.
Dommartin-lès-Ville est une ancienne commune située au nord de Ville-sur-Illon centre.
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EGLISE SAINT LAURENT
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EGLISE ST-JEAN-BAPTISTE DE LAVIEVILLE
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EGLISE ST REMY
Construite au XIIIe siècle, Domrémy dépendait alors de la paroisse de Greux (à 1 km au nord, où se trouvait l'église mère) et du diocèse de Toul.
Elle est dédiée à l'évêque Saint Remi de Reims (v 437-533, qui convertit et sacre le premier roi de France Clovis Ier en 481 à la Basilique Saint-Remi de Reims), et à Jeanne d'Arc (v1412-1431) qui naît et passe son enfance dans la maison natale de Jeanne d'Arc voisine, lieu, entre église et maison, où elle entend et voit ses premières apparitions à l'age de 13 ans en 1420, et fait sacrer le roi Charles VII par l'Église catholique à la cathédrale Notre-Dame de Reims en 1429.
L’édifice est plusieurs fois agrandi au cours des siècles.
En 1824 il est profondément remanié avec une réorientation inversée, avec le chœur à l'emplacement de l'ancien porche, et inversement. La porte d'accès est alors ouverte sous le clocher-porche actuel. Un transept et un chevet sont construits côté ouest pour le chœur. Les voûtes ont été plusieurs fois remaniées comme l'indiquent les dates aux clefs de voûte 1582, 1585, 1698, 1904. D'importants travaux de restauration sont réalisés en 2005. Elle est recouverte comme la maison natale de Jeanne d'Arc, d'une toiture en tuile canal.
C'est dans cette église que Jeanne d'Arc (qui a profondément marqué la commune et la région) a été baptisée en 1412 par le curé Jean Minet, dans les fonts baptismaux d'époque. Claude du Lys, François Hurlot, Claude Noblesse, descendants de son frère Jean, ont été curés de Domrémy.
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LA BASILIQUE SAINTE JEANNE D'ARC dite du BOIS CHENU
La première pierre du bâtiment a été posée le 3 novembre 1881 à proximité immédiate du lieu où Jeanne, bergère, aurait entendu ses voix. Il a été bâti sur les plans de l'architecte Paul Sédille (après la mort de ce dernier en 1900, les frères Émile et René Demay, architectes à Neufchâteau, prendront la direction des travaux jusqu'à leur achèvement en 1926). L'édifice initial, prévu plus petit, était initialement dédié à saint Michel étant donné que Jeanne n'avait pas encore été béatifiée. La première messe y fut célébrée en 1896, l'église étant alors toujours en construction. En 1897 4 cloches furent ajoutées au nouveau clocher.
En 1909, la béatification de Jeanne d'Arc par le pape Pie X, constituera la première étape vers la sainteté, mais il faudra encore attendre onze années pour qu'elle soit canonisée en 1920 par le pape Benoît XV. En 1922, le pape Pie XI la proclame sainte patronne secondaire de la France, et la consécration de l'édifice à Sainte-Jeanne-d'Arc eut lieu quelques années plus tard, en 1926. Le , l'église reçut le titre de basilique mineure.
EGLISE ST VALLIER
À ce jour, il ne reste de l’ancienne église que la chapelle castrale avec, sur le mur extérieur, le bandeau funéraire des seigneurs du lieu et la tête brisée d’une statue de pierre du xvie siècle.
(C’est dans les registres paroissiaux de Domvallier que l’on trouve la trace des ancêtres de Victor Hugo. Jean Hugo était laboureur à Ramecourt au début du xviiie siècle. Il y décédera ainsi que son épouse Catherine Mansuy en 1731. Leur petit-fils, Joseph Hugo - fils de Jean-Philippe et de Catherine Grandmaire - né à Baudricourt en 1727, sera le père du général Hugo.)
extrait de Wikipedia
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BASILIQUE ST MAURICE
Construit du XIème au XIIIème siècle, l'édifice a subi de nombreuses influences : beffroi de style rhénan, nef bourguignonne (début XIIIème), choeur et portail gothiques champenois (fin XIIIème).
L'église, devenue basilique en 1933, renferme une riche statuaire (Vierges à l'enfant, mise au tombeau). Jusqu'à la Révolution, elle a accueilli à la fois les fidèles et les dames composant le chapitre noble Saint-Goëry. La basilique est classée monument historique depuis 1848.
de gueules à la tour crénelée de quatre pièces d’argent, maçonnée et ajourée de sable, accostée de deux fleurs de lys d’or.
EXTRAIT WIKIPEDIA
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EGLISE DE L'INVENTION DE ST ETIENNE
Saint Étienne est un prédicateur juif du ier siècle considéré a posteriori comme le premier diacre — ou protodiacre — et le premier martyr — ou protomartyr — de la chrétienté
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EGLISE NOTRE-DAME
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EGLISE SAINT-BLAISE et NOTRE-DAME de la NATIVITÉ
elle fut construite en 1783
FREBECOURT
CHAPELLE CASTRALE DU CHÂTEAU DITE DE ST VINCENT
Le château conserve son aspect féodal sur son front Est, avec quatre tours rondes à toits dits « en poivrières ». Il y en avait plus d'une dizaine au XIVe siècle6. De l'autre côté s'adosse les corps de logis du XVIe siècle ; ceux-ci bordent une cour intérieure et une aile Sud agrémentée d'une galerie en arcades cintrées.
L'intérieur de l'édifice porte la marque de plusieurs époques ; certains salons ont conservé leur plafond d'origine ; la chapelle Saint-Vincent abrite les tombeaux seigneuriaux.
L'édifice est sans conteste le plus beau château du département des Vosges mais il ne se visite pas ; seul le parc paysager, une création de Paul de Lavenne, comte de Choulot (1794-1864), et qui aurait été équipé par la maison orléanaise Guillot-Pelletier d'une des premières serres dites « hollandaises » de France, est parfois accessible au cours des journées européennes du patrimoine.
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EGLISE ST PIERRE ET ST PAUL
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CHAPELLE NOTRE-DAME DE BONSECOURS
Notre-Dame de Bonsecours est édifiée par Claude d'Aarberg (1447-1517),
seigneur de Valangin et baron de Beaufremont.
il s'agit là d'une photo d'une chapelle et non d'une église.
la personne à qui j'ai acheté la carte de Autigny-la-Tour m'en a fait cadeau
elle est très intéressante au niveau du statuaire .
une Vierge au manteau, une Ste Anne , et une Vierge à l'Enfant et St jean Baptiste
Si je collectionne les intérieurs d'églises, elle collectionne les chapelles des Vosges.
un grand merci
l'église s’appelle EGLISE ST REMY. Elle est romane du xiie siècle avec une nef gothique du xvie siècle, réédifiée en 1890.
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EGLISE ST BARTHÉLEMY
Gérardmer est prise le par l'armée allemande. C'est au cours de ces combats que l'église de la ville sera détruite par incendie lors de l'explosion d'un camion stationné à côté.
EGLISE SAINT BRICE
EGLISE SAINT REMY
Village dominant la haute vallée de la Saône, au sud des Vosges, Godoncourt est lui même dominé par son église Saint-Rémy aux formes qui combinent simplicité et complexité.
Construite au XIIIème siècle, l'église, romane au départ, a vu s'immiscer le style gothique de manière dominante ensuite. Au XVIème siècle elle a connu de nombreuses évolutions avec, notamment, de fabuleuses fresques peintes qui représentent des scènes religieuses comme la nativité. Le XVIIIème siècle verra un enrichissement du mobilier avec de très beaux autels.
Godoncourt est connu pour son monastère orthodoxe mais on ne doit pas y négliger son église paroissiale Saint-Rémy aux mille richesses cachées d'autant plus qu'elle est souvent ouverte les dimanches de la belle saison. Une étape patrimoniale de plus dans la Saône Vosgienne qui a plus d'un atout pour séduire le promeneur. ext: Unknown - 88 - Vosges 6 Patrimoine religieux
EGLISE STE LIBAIRE
L'église est construite sur un site antique (occupé par un temple d'Apollon) entre la fin du xve siècle et la première moitié du xvie siècle, restaurée à la fin du xviiie siècle.
EGLISE ST GEORGES
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EGLISE DE LA NATIVITÉ DE NOTRE-DAME
L'église néo-gothique achevée vers 1876 en intégrant un clocher plus ancien. Elle a été construite sur un plan basilical : bas-côtés plus bas que la nef centrale percée de fenêtres hautes.
L'orgue a été construit par Jacquot-Jeanpierre & Cie en 1894.
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EGLISE SAINT MARTIN
L'église, dont la nef a été reconstruite en 1826, a un chœur très ancien : on y a découvert des souterrains, un tombeau, une belle statue en pierre représentant un chevalier armé de toutes pièces et deux bustes.
EGLISE ST GENGOULT
le chœur est daté de 1789, la nef ayant été reconstruite en 1827.
L'orgue d'Antoine Grossir, construit en 1823, provient de Plainfaing et a été transféré à Hadol en 1900 après avoir été transformé par Martin Rinckenbach en 1876
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EGLISE SAINT FERREOL ET SAINT FERJEUX - (ci dessous)
Saint Ferréol et saint Ferjeux de Besançon (Ferréol, ou Fargeau, ou Ferreolus, homme de fer, en latin) (morts en martyrs chrétiens le ) sont les deux saints patrons de Besançon, fêtés le 16 juin. Ils sont, selon l'Histoire des Francs de l’évêque historien Grégoire de Tours du vie siècle, deux frères prêtre et diacre, considérés comme les deux fondateurs de la première Église de Besançon, et premiers évangélisateurs de la région séquane (Franche-Comté) dans la gaule romaine du iiie siècle. La Basilique Saint-Ferjeux de Besançon construite au xixe siècle sur l'emplacement de leur grotte, en architecture éclectique romano-byzantin-franc-comtois, leur est dédiée. (wikipedia)
D'azur à la tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable, accostée de deux saints aussi d'argent tenant chacun leur tête dans leurs mains au milieu du corps.
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EGLISE ST BRICE
L'église Saint-Brice, construite en 1768
Pas de château fort au pays ce qui fut la cause de plusieurs destructions au cours des guerres passées. En septembre 1587, au passage des Protestants, ce sont l’église et 67 maisons qui disparaissent dans un incendie. Il est fort probable aussi que le village ait été détruit lors de la guerre de Trente Ans. L’église détruite a été reconstruite une première fois puis une seconde fois à son emplacement actuel en 1768. Les cloches sont baptisées en 1843 et ont pour parrains et marraines des notables de la paroisse. Comme à Autreville, le saint patron de la paroisse est Saint Brice.
EXTRAIT DE DIOSECE DE ST DIE
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EGLISE ST PIENT
Construite au XIXe siècle avec un clocher à BULBE
A côté de la Savoie, deux autres régions françaises comptent un grand nombre de clochers à bulbe, à savoir l'Alsace et la Lorraine (la Franche-Comté voisine possédant par contre surtout des dômes « à l'impériale »).
Les clochers à bulbe sont fréquents dans ces deux régions à partir du xviiie siècle, même si un certain nombre a disparu lors des deux guerres mondiales ou des reconstructions d'églises du xixe siècle. À côté des clochers de type germanique, de forme plus arrondie, on rencontre dans les Vosges également des clochers à bulbe caractéristique, très trapus et composés de plusieurs arêtes.
En Lorraine, on mentionnera les clochers germaniques des églises de Saint-Quirin et Saint-Avold, des églises de Freyming-Merlebach, ainsi que les clochers vosgiens des églises de Bertrimoutier, Provenchères-sur-Fave, Remiremont, ou encore de la cathédrale Saint-Dié de Saint-Dié-des-Vosges.
(extrait Wikipedia)
Blason du département des Vosges
Confesseur.
D'une famille très modeste, c'est par son mérite et ses qualités qu'il fut appelé à devenir évêque de Poitiers. Il participa à la fondation du monastère de la Sainte-Croix avec sainte Radegonde. Des autres faits et gestes de sa vie, la tradition n'a rien retenu d'autre, sinon qu'il fut un bon évêque. Ce qui est déjà beaucoup. Pendant plus de dix siècles, à Maillezais(*) en Vendée, une chapelle sur le site de sa mort fut un lieu de pèlerinage très fréquenté.
Saint Pient, vingt et unième évêque de Poitiers, qui serait mort à Maillé en 564, au cours d'une tournée pastorale... (liste des Saints et Bienheureux du Diocèse de Luçon)
À Poitiers, vers 564, saint Pient, évêque, qui aida sainte Radegonde à bâtir son monastère.
Martyrologe romain
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EGLISE ST MICHEL
Dédiée à Saint-Michel, l'église fut vraisemblablement construite au XIIe siècle avec des ajouts
aux XIIIe siècle (le chœur), au XVe siècle (le clocher, la sacristie et percement des baies du chœur),
en 1702 (remaniement du clocher) et à partir de 1866 (Nef reconstruite par Barthélémy Petot,
entrepreneur à Monthureux-sur-Saône et Émile Michel,entrepreneur à Bainville-aux-Saules,
sur des plans de Léon Vautrin, architecte à Nancy)
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EGLISE ST EVRE
L’église est dédiée à saint Èvre. Elle était jadis annexe d’Oëlleville ; l’actuelle a été construite en 1868 par l'architecte Léon Vautrin.
extrait wikipedia
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EGLISE ST ETIENNE
Cette chapelle a été édifiée en 1901 par la famille Garnier-Thiébaut, des industriels du textile, (linge de maison) à côté de leur usine. Jean-Baptiste Emile Garnier (1833-1905) et Jules Garnier (1843-1910) y sont notamment inhumés.
Le style finlandais surprend. C'est la reproduction en pierre granitique d'un modèle de chapelle finlandaise, édifiée là-bas en bois.
Sur la façade, une statue en pierre du 18e siècle de Saint-Etienne, auquel est dédiée cette chapelle. Aux angles du chevet plat, on aperçoit 2 statues abritées.
A l'intérieur, la charpente est remarquable. Le chœur, qui n'a plus d'autel, est orné de 4 tableaux représentant les 4 évangélistes.
Une curieuse statue du Christ est accrochée au dessus de l'arc triomphal en plein cintre.
En entrant, à gauche, on peut voir 4 statues dont l'origine et même le nom de 2 d'entre-elles ne sont pas connus. Une médaille de la Vierge trouvée à 2 mètres de profondeur lors du creusement des fondations a été encastrée dans le mur.
Un monument aux morts du hameau a été adossé à droite de la nef.
Enfin, signalons sur l'autel latéral gauche, une statue de Sainte-Anne provenant de l'atelier de tissage voisin. Les tisserands la nommaient "Notre Dame do mâ filé" (du mauvais fil). Mais était-ce pour l'invoquer afin que le fil ne se casse pas ou au contraire pour l'incriminer quand le fil cassait, à cause de sa présence imposée par le patron sur le lieu de travail…
EXTRAIT : PETIT PATRIMOINE.COM
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EGLISE ST AUGUSTIN ET ST ROMARIC
Son église, initialement dédiée à saint Augustin (Augustin d'Hippone (latin : Aurelius Augustinus), aujourd’hui à saint Romaric, était annexe de Xertigny ; elle a été construite au milieu du 17e siècle. elle s'est agrandie début XIXe.
BLASON
EGLISE SAINT LUC
EGLISE NOTRE-DAME DE L'ASSOMPTION
L’église de Lamarche, dénommée église Notre-Dame, est vouée à l’Assomption de la Vierge Marie. Datant du XIIIème siècle, modifiée et agrandie au cours des XVIème et XVIIème siècles, elle est classée Monuments Historiques depuis juillet 1997. L’église comporte une nef de sept travées, deux collatéraux et un chœur pentagonal ; elle n’a pas de transept. C'est au début du XVIIème siècle que furent apportées d'autres modifications comme le clocher qui fait également office de porche d'entrée. Son architecture utilise les techniques de la voûte et de la croisée d'ogives, de l'arc brisé et du contrefort extérieur et présente les caractéristiques essentielles de l'art gothique. Sa richesse patrimoniale est rehaussée d’un orgue fabriqué par Nicolas Antoine Lété de Mirecourt installé dans une tribune sculptée et conçue par Jean Gerdolle et d’une statue de la Vierge à l’enfant, pierre polychrome du XIVème, chacun classés Monuments Historiques.
EXTRAIT "FONDATION DU PATRIMOINE"
EGLISE SAINT VINCENT
EGLISE SAINT-PIERRE-ES-LIENS
Losangé d’or et de sable.
L'église Saint-Jean-Baptiste de Lusse a été bâtie à diverses époques. La nef date de 1830, tandis que la tour et le chœur paraissent plus anciens. À en juger par les fenêtres en plein cintre et les voûtes à vives arêtes que l'on voit dans le chœur, cette partie du monument remonterait au X ou au xie siècle. Dès le xiie siècle, on voit l'ogive s'introduire dans les constructions religieuses et y dominer jusqu'au xviie siècle. Le clocher est assez élevé et surmonté d'un petit temple en fer blanc, qui fait un effet assez bizarre ainsi perché sur cette vielle tour. On peut y monter par un escalier pratiqué de l'intérieur. Arrivé sur le sommet de la tour, on jouit d'une assez jolie vue étendue sur une partie du village et des environs.
L'intérieur de l'église est garni de quelques tableaux, mais ce qui attire surtout l'attention c'est la chaire, ouvrage curieux qui date du XV ou du xvie siècle. Elle est sculptée en bois avec beaucoup d'art ; d'une singularité cependant qu'on y remarque ce sont les attributs qu'on voit sur les quatre panneaux et qui paraissent peu en harmonie avec le but de ce meuble ecclésiastique à moins qu'on ne suppose que ces emblèmes fassent allusion aux fonctions pastorales des desservants de l'église. Sur l'un de ces panneaux l'artiste a représenté une flûte antique et un oiseau, autour une guirlande de roses ; sur le second, des flûtes en sautoir et une guirlande de raisons ; le troisième représente une flûte et un cor de chasse, et le quatrième enfin un violoncelle, un livre de musique et un ange. Le bas de la chaire est terminé par un raisin. La partie supérieure de la chaire forme une espèce de coupole terminée par une figure d'ange.
(extrait wikipedia)
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EGLISE ST BARTHÉLEMY
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EGLISE ST MARTIN
Construite en 1774
EGLISE SAINT MAURICE
Église Saint-Maurice avec un tabernacle et des reliquaires en bois doré (provenant de l'Abbaye Notre-Dame-de-l'Assomption de Flabémont, xviiie siècle), et une statue d'une Vierge de Pitié (xvie siècle)
EXTRAIT WIKIPEDIA
EGLISE SAINT MARTIN
Petit village des Vosges aux portes du Saintois, Marainville-sur-Madon arbore une silhouette rurale relativement préservée.
L'église, qui domine les champs alentours, a probablement été bâtie au Moyen-Âge (XIIIème/XVème siècles) et remaniée ensuite.
La porte et les fenêtres sont d'un style gothique entre rayonnant et flamboyant. Des traces romanes sont perceptible dans les ouvertures du clocher ce qui témoignerait d'une construction peut-être plus ancienne mais les informations manquent sur cette église. En effet elle n'est que rarement ouverte et ne bénéficie d'aucune protection au titre des Monuments Historiques. Cela explique peut-être pourquoi les façades ont été ravalées de manière très contestable en préservant l'édifice certes mais en atrophiant en partie ses ouvertures et ses angles avec un enduit trop droit et des baquettes d'angle en plastique... Des dommages qu'il faudra reprendre un jour.
Mais l'ensemble de l'église Saint-Martin reste cohérent et constitue un lieu de promenade agréable dans une campagne verdoyante, propice à l'évasion.
EXTRAIT "LA LORRAINE SE DÉVOILE"
EGLISE ST PIERRE AUX LIENS
BASILIQUE SAINT PIERRE FOURRIER
EGLISE NOTRE DAME DE L'ASSOMPTION
Culte catholique dépendant de la La paroisse "Saint-Basle-de-la-Plaine", dans la nouvelle église Notre-Dame au centre du village construite en 1868.
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EGLISE SAINT MAURICE
La commune a été décorée le 21 octobre 1920 de la croix de guerre 1914-1918.
EGLISE NOTRE-DAME-DE-LA-NATIVITÉ
Cette église dédiée à Notre-Dame de la Nativité est en réalité la seconde église de la cité, la première étant la Chapelle de la Oultre, au-delà du Madon. La première pierre en a été posée le 18 février 1303. A l'origine, la rue était au niveau actuel de l'église, qui au 18eme siècle a été "enterrée" par les exhaussements successifs de la rue. On construisit alors 8 marches nécessaires pour y descendre. De même, pour atteindre la rue en contrebas, il n'a a pas moins de 40 marches. VUE EXTÉRIEURE: On n'en voit pratiquement que la Tour, supportant la flèche octogonale qui a remplacé en 1755 une flèche à quatre pans ; les maisons voisines l'enserrent étroitement. Cette tour a subi une restauration de 1992 à 1997, pratiquement toutes les pierres ont été remplacées et une seule horloge côté rue a été conservée dans son emplacement originel, les 3 autres ont été supprimées. A voir également les entrées du porche avec ses belles pierres de taille en ogive
« De sinople, à la fasce d'or. »
« D'azur, à la bande d'or ; au franc-quartier senestre de gueules chargé d'un N d'argent surmonté d'une étoile rayonnante du même
EXTRAIT WIKIPEDIA
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EGLISE ST MICHEL ET ST SÉBASTIEN
L’église d’Happoncourt date de 1862 comme en fait foi l’inscription sur le pilier à la droite du chœur . Elle remplace une chapelle construite en 1702/1704. Elle renferme les statues du XVIIIème siècle, en bois polychrome, de saint Michel patron de Moncel et de saint Sébastien patron d’Happoncourt. Sa cloche est datée de 1713.
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EGLISE SAINT BARTHÉLÉMY
18ème siècle dans laquelle on trouve un retable classé du 17ème siècle.
EGLISE ST MICHEL OU NOTRE-DAME-DES-DOUZE-ETOILES
"L'édifice, bâti sur le rocher, remonte au XIème siècle, mais le XVème et surtout le XVIIIème lui donnèrent la structure et l'allure que nous connaissons : le clocher coiffé à l'impériale, la nef voûtée en gothique, le chœur et le transept ornés de boiseries et d'autels baroques. Le mobilier présente un intérêt considérable, en particulier "le tableautin" de Notre Dame aux douze étoiles provenant du couvent des tiercelins, et la mise au tombeau en bois provenant autrefois de la chapelle du sépulcre de l'église abbatiale de Flabémont.
L'église sort d'une campagne de ravalement et de travaux intérieurs qui l'ont considérablement mise en valeur."
(extrait de l'ouvrage Pierres en lumières de Patrick Hannelle et Jean François Michel)
NOTRE DAME DES DOUZE ETOILES
Cette peinture sur métal d'une grande finesse qui figure en bonne place dans notre église, serait de la période préraphaélite et daterait du début du 17ème siècle.
D'origine irlandaise, elle aurait été récupérée en 1620 lors du sac de Prague. Le capitaine De Vernier qui épousa Jeanne de Houchain de la famille des Dubuquois, baronne d'Orchamps Vennes(Doubs) en devint possesseur.
En 1654, le capitaine De Vernier achète Monthureux et la baronne décide de transférer la madone d'Orchamps Vennes à Monthureux.
L'archevêque de Besançon, Pierre Antoine De Grammont, refuse d'abord de laisser partir cette peinture qui avait la réputation d'accomplir des miracles.
Elle guérissait, en particulier, paraît-il, les maladies mentales. Finalement, il autorise son exposition dans la chapelle du château de Monthureux.
Lorsque la baronne disparaîtra, son gendre Charles De Belrupt léguera la toile aux tiercelins de Monthureux.
Lors de la révolution, en 1791, alors que le cadre a été redoré, Madeleine Marchal, femme Labourot, achète la madone aux tiercelins.
Le tableau fut finalement restitué vers 1830 au curé de l'époque, Antoine Gérard.
C'est une oeuvre très belle, pleine de finesse et de tendresse. D'une main l'Enfant Jésus montre le Livre Saint, tandis que de l'autre il désigne sa Mère.
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EGLISE SAINT MAURICE
Construite en 1857-58, consacrée en 1858, et son orgue de 1829 de Jean-Nicolas Jeanpierre
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EGLISE SAINT CHRISTOPHE
Eglise des xiiie et xive siècles, classée au titre des monuments historiques par arrêté du dont la chapelle funéraire renferme une voûte à douze clés pendantes, véritable dentelle de pierre unique en France, et son orgue sans doute le plus ancien de Lorraine qui aurait besoin d'être déplacé et restauré (Wikipédia)
Blason actuel
D'or à la bande de gueules chargée de trois tours d'argent.
EGLISE SAINTS CALIXTE-ET-JULIEN
L’Église SAINT JULIEN connue pour ses vitraux constitués de 8 baies de 27 m² au total, dont trois ont été réalisées en dalle de verre par Gabriel LOIRE, maître verrier à CHARTRES, en 1965. Église qui possède un orgue Jacquot-Lavergne, daté de 1852, transformé à différentes périodes et reconstruit de 1953 à 1969.
EGLISE ST EVRE
d'origine romane, elle fut reconstruite au xixe siècle.
EGLISE ST MAURICE ET ST ANDRÉ
L’église, dédiée à saint Maurice, était le chef-lieu d’un des doyennés de l’archidiaconé de Vosges au diocèse de Toul, dit doyenné de Porsas. La cure était à la collation du chapitre de Poussay. L’église a été construite en 1757.
EGLISE SAINT ROCH
Regnévelle est un petit village du nord est de la France. Le village est situé dans le département des Vosges en région Lorraine. Le village de Regnévelle appartient à l'arrondissement de Épinal et au canton de Monthureux-sur-Saône. Les habitants de Regnévelle se nomment les Regnévellois et les Regnévelloises. Elle date de la 2éme moitié du XIXe siècle . elle fut construite par les dons et la participation des habitants.
A l'église, belle descente de croix à 4 personnages du XVIème et baldaquin du XVIIIème abritant un St Roch polychrome.
EGLISE ST PIERRE
Haut-lieu de l’histoire romarimontaine, l’Église Abbatiale Saint Pierre de Remiremont - édifiée à partir du XIème siècle - est le fruit de la superposition de 2 églises romane et gothique qui font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1983. L'histoire de l'église abbatiale est intimement liée, jusqu'à la Révolution, à celle du Chapitre des Dames Chanoinesses. Cet édifice, construit essentiellement au XIIIème siècle dans sa partie supérieure, présente un contraste entre la sobriété de la nef de style gothique et la richesse du chœur en marbre et en gypserie. L'église souterraine, composée de trois chapelles, date du XIème siècle et présente des peintures murales des XIV° et XV° siècles. Grâce à d’importants travaux de rénovation de 1988 jusqu’à l’an 2000, l’église est dans un excellent état de conservation extérieur (toitures refaites, façades ravalées…) et intérieur avec des couleurs d'origine et des formes simples et épurées retrouvées. Cette ancienne église du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, devenue église paroissiale à la Révolution Française constitue le centre du quartier canonial composé des maisons des chanoinesses et du palais abbatial qui abrite aujourd'hui la mairie. Sa rénovation a permis de mettre en valeur des fresques murales des XIV° et XV° siècles dans la crypte , ainsi que des clés de voûtes o
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EGLISE DE L'ASSOMPTION
L’église de Robécourt est une petite église romaine datant de la fin du XIIème siècle, transformée surtout au XVIème et XVIIème siècles.
Elle possède deux tableaux et un maître-autel rares ainsi que deux retables remarquables. Les deux tableaux représentent « l’Assomption de la Vierge » et « Saint-Nicolas ». Le maître-autel, datant du XVIIIème siècle, est en bois sculpté doré et peint. Les retables latéraux représentent « La Vierge » et « Sainte-Anne ».
extrait "la Fondation du Patrimoine"
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EGLISE SAINT ELOPHE
L’église, dédiée à saint Élophe, était du diocèse de Toul, doyenné de Porsas. La cure était du diocèse de Toul et, antérieurement, à la collation du chapitre de Brixey.
L'édifice a trois nefs et cinq travées.
L'abside offre cinq grandes fenêtres.
Les vitraux sont en grisaille de l'atelier Pierre Napoléon Rives, peintre-verrier à Nancy.
L'église construite en 1856, a été consacrée le 22 octobre 1857 par l'évêque de Saint-Dié (Vosges).
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EGLISE SAINT EVENCE
Saint Évence est un prêtre romain martyrisé en l’an 119 avec le pape et saint Alexandre Ier, enterré en l’église Sainte-Sabine à Rome. (Wikipédia)
Elle date du XIXème et abrite une Vierge de Pitié en pierre du XVIIème.
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EGLISE ST MANSUY
L'église du XVIe, construite à flanc de coteau, est fortifiée (donjon, beffroi, tour de guet, archères et bretèches)
EGLISE SAINT DIDIER
EGLISE SAINT REMY
L'église Saint-Rémy, dite du "Grand ban"9, dont la nef et les bas-côtés datent des xve et xvie siècles,
la chapelle Saint Blaise et la Vierge de 1564. Diptyque peint par le Vittellois Claude Bassot vers 1600.
EGLISE ST MARTIN
Église du xiie siècle, l'un des plus beaux ensembles romans du département, classée monument historique
C'est une église romane de plan basilical de trois vaisseaux et cinq travées à l'origine, le tout plafonné. Le massif occidental présentait une abside centrale, voûtée en cul-de-four, et deux absidioles orientées voûtées de même. L'architecture originelle a été largement modifiée aux xviiie siècle : les fenêtres ont été agrandies, les grandes arcades modifiées et le tout recouvert d'une toiture unique. La chapelle nord a été rasée.
La porte de l'église est ornée d'un portail roman d'une facture assez naïve représentant les saintes femmes au tombeau
De sinople à la fleur d'iris des marais d'or soutenue par une trangle ondée d'argent, chapé de gueules chargé à dextre d'un alérion et à senestre de deux clefs passées en sautoir, le tout d'argent.
Création de R.A. Louis et B. Georgin avec les conseils de la Commission Héraldique de l'UCGL. Adopté par la commune en mai 2015. (Wikipedia)
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